Quelle sont les 21 pays qui parle espagnol ?
Les pays hispanophones A travers le monde, on dénombre entre 320 et 400 millions de personnes parlant l’espagnol comme langue maternelle et des millions comme deuxième slangue. L’espagnol est donc une des langues les plus importantes du monde moderne. L’espagnol est la langue officielle ou co-officielle des pays suivants : Argentine, Bolivie, Chili, Colombie, Costa Rica, Cuba, République dominicaine, Equateur, El Salvador, Guatemala, Honduras, Mexique, Nicaragua, Panama, Paraguay, Pérou, Puerto Rico, Uruguay, Venezuela et Epagne.
Quelle sont les pays qui parle l’espagnol ?
L’espagnol langue officielle
N o | Pays | Région |
---|---|---|
1 | Mexique (« langue nationale ») | Amérique du Nord |
2 | Colombie | Amérique du Sud |
3 | Espagne | Europe |
4 | Argentine | Amérique du Sud |
Quel pays parle espagnol en Afrique ?
Combien de personnes parlent l’espagnol dans le reste du monde ? – Bien que la grande majorité des hispanophones résident dans les Amériques et en Europe, il existe des personnes qui parlent espagnol dans d’autres parties du monde également. Un pays qui se distingue est celui des Philippines, où l’espagnol était une langue officielle de la fin du XVIe siècle jusqu’à une date relativement récente.
Les Philippines ont été sous domination espagnole de 1565 à 1898, mais même après la fin de la guerre hispano-américaine, il est resté une langue co-officielle avec l’anglais jusqu’en 1987, date à laquelle il a été désigné comme langue facultative. Aujourd’hui, environ 3 millions de Philippins parlent l’espagnol ou le chavacano : une langue créole basée sur l’espagnol.
En Afrique, l’espagnol est l’une des trois langues officielles de la Guinée équatoriale, où près de 68 % de la population le parle. L’espagnol est également parlé dans les territoires du nord de l’Afrique contrôlés par l’Espagne, et au Maroc, qui est géographiquement proche de l’Espagne.
Où se parle le meilleur espagnol ?
28 mai 2018 Affichages : 9081 Il est clair que chaque pays hispanophone argumenterait avec fierté que l’espagnol parlé dans sa patrie est le meilleur ! Et qui s’attendrait autrement ? La Culture et la langue sont intimement liées et chaque pays a beaucoup à offrir aux visiteurs d’un point de vue culinaire, historique, artistique et linguistique.
Cela dit, un point fort en choisissant un pays pour une expérience au-delà d’une visite touristique, mais plutôt d’apprendre l’espagnol et se plonger dans les subtilités culturelles, est d’enquêter sur quel pays est le mieux pour votre acquisition linguistique. L’espagnol peut être classé dans des pays avec une diction claire et un bon niveau de standardisation linguistique.
L’Equateur, la Bolivie et le Pérou, par exemple, avec une riche mosaïque de cultures et de langues indigènes, démontrent des influences dialectiques dans leur espagnol parlé localement. Alors que les occasions d’entendre des langues autochtones sont une expérience particulière, si votre objectif est d’apprendre l’espagnol, il se peut que vos possibilités d’apprentissage en espagnol soient réduites.
En tournant notre attention vers l’Europe, en Espagne, vous pouvez facilement rencontrer d’autres langues lors de vos voyages en explorant le pays (les langues secondaires étant le catalan, le galicien, le basque et le valencien), une réalité parfois déroutante pour un nouvel étudiant en espagnol. Cela pourrait-être même décourageant ! Les Deux pays qui sont reconnus pour un accent clairement exprimé et standardisé sont la Colombie et le Costa Rica,
Bien qu’il existe des langues indigènes parlées par certains citoyens, la langue principale est l’espagnol. Curieusement, ces deux pays ont un accent et des manières d’expression communs, ainsi qu’une population chaleureuse et amicale. En fait, les visiteurs donnent la sensation d’être accueillis comme l’une de leurs principales raisons d’aimer leur séjour dans ces pays.
Des deux, le Costa Rica est plus expérimenté dans l’accueil des touristes de tous les budgets, des randonneurs aux hébergements de luxe, dans les destinations naturelles les plus populaires dans le pays. Le Costa Rica dispose également d’un personnel accueillant expérimenté pour recevoir les visiteurs d’Amérique du Nord et d’Europe.
Et, tandis que la préférence est un environnement espagnol seulement pour les étudiants espagnols, la plupart des Ticos (Costa Riciens) peuvent parler un peu d’anglais. En termes d’instituts d’immersion espagnols établis, le Costa Rica est un leader du secteur avec près de 40 ans depuis l’ouverture de la première école d’immersion, et il existe actuellement une pléthore d’options pour tous les styles de voyage et objectifs linguistiques.
Années d’expérience : cela fournit une indication sur le savoir faire et le professionalisme de l’école. Taille maximale de la classe : bien sûr, avec moins d’élèves par classe, cela se traduit par une attention personnalisée accrue et un soutien dans la réalisation des objectifs individuels. L’institut est-il une entité locale ? Les écoles ayant des racines locales ont une compréhension globale de la culture, ainsi qu’un plus grand intérêt pour la communauté et le développement durable. Services complémentaires : l’ambiance, l’école est-elle accueillante, c’est la mise en place pour une expérience étudiante réussie ? Y a-t-il du personnel de soutien disponible pour répondre à toutes les questions ? L’école aide-t-elle dans logistique du transport et les excursions dans le pays ? Un conseil rapide : soyez conscient de l’expérience avant le voyage. L’engagement avec le personnel de l’admission est-il positif ? Vos questions reçoivent-elles une réponse rapide et êtes-vous bien préparé pour cette expérience ?
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Quelle est la langue la plus parlée dans le monde ?
S’appuyant sur les estimations du site spécialisé Ethnologue, Statista a dressé lundi 20 février 2023 le classement des langues les plus parlées sur la planète, selon le nombre total de locuteurs, c’est à dire de langue maternelle et seconde. – L’ anglais et le chinois mandarin occupent la première et deuxième marche du podium, avec respectivement 1,45 milliards et 1,12 milliards de locuteurs.
- L’ hindi (602 millions de locuteurs), l’ espagnol (548 millions de locuteurs) et le français (274 millions de locuteurs) viennent compléter le top 5.
- Ces langues sont talonnées par le bengali, langue officielle du Bangladesh, aussi pratiquée par une partie de la population en Inde.
- Le bengali compte 272 millions de locuteurs.
En fin de classement, on retrouve le russe (258 millions de locuteurs), le portugais (également 258 millions de locuteurs) et enfin l’ ourdou, langue nationale du Pakistan, également l’une des langues officielles de l’Inde, parmi les 22 référencées (231 millions de locuteurs au total).
Quelle est la deuxième langue la plus parlée en France ?
5- L’arabe – Un peu plus loin derrière l’espagnol, l’arabe est parlé par 274 millions de personnes dans le monde. En France, l’arabe est la deuxième langue la plus parlée, avec environ 3 ou 4 millions de locuteurs. Les arabophones ne parlent en revanche pas tous le même arabe, plusieurs dialectes étant spécifiques dans chaque région.
Quels sont les 4 langues officielles en Espagne ?
Espagne L’Espagne comptait en 2017 quelque 46 millions d’habitants. Le castillan est la langue officielle de l’État et la langue habituelle de la majeure partie des habitants de ce pays; c’est la langue maternelle de 64,1 % de la population. En Espagne, la langue espagnole n’est jamais appelée juridiquement español mais toujours castellano, c’est-à-dire castillan,
- Si en vertu de la loi, les Espagnols d’Espagne parlent le castillan, dans la vie quotidienne, les mots castillan et espagnol sont synonymes.
- Dans tous les textes juridiques de l’Espagne, que ce soit pour l’État espagnol ou les différentes Communautés autonomes, le seul terme utilisé pour désigner la langue officielle de l’État espagnol est le terme castellano,
Lorsqu’on utilise une expression telle que « lengua española » ou « lenguas españolas » (« langue espagnole » ou « langues espagnoles »), c’est pour désigner l’une des langues parlées en Espagne, Bref, toutes les langues parlées en Espagne (castillan, catalan, basque et galicien) sont des langues espagnoles,
Pour résumer, on utilise en Espagne le mot castillan quand on fait allusion à la « langue commune de l’État » par rapport aux autres langues co-officielles dans leurs territoires autonomes respectifs, comme le catalan, le galicien ou l’euskera (basque). Par voie de conséquence, l’Espagne n’est pas un pays linguistiquement homogène.
D’autres langues maternelles sont utilisées par une proportion importante de la population : le catalan (10 millions, dont 4 millions comme langue maternelle), le galicien ou galego (2,3 millions), le basque ou euskara (2,5 millions), le tsigane (600 000), l’asturien ou bable (200 000), l’aragonais ou fabla (30 000), l’aranais (3814), etc.
- À part le basque qui constitue un isolat linguistique (famille basque), ce sont toutes des langues romanes d’origine indo-européenne, sauf le tsigane, une langue du groupe indo-iranien de la famille indo-européenne.
- Si les locuteurs du catalan, du galicien et du basque sont répartis dans quelques Communautés autonomes, seuls les locuteurs du castillan et du tsigane sont répartis dans l’ensemble du pays.
Mais les locuteurs du tsigane, de l’asturien et de l’aragonais ne sont pas aussi bien protégés au point de vue juridique. En tout, plus de 16 millions de locuteurs parlant une autre langue maternelle que le castillan sont répartis dans les différentes communautés autonomes de l’Espagne.
Alors que les locuteurs du catalan, du galicien et du basque ne vivent que dans quelques communautés autonomes, seuls les locuteurs de Castellano et de Tsigane peuvent être rencontrés dans tout le pays. Pourtant, ceux qui parlent tsigane, asturien et aragonais ne sont pas aussi bien protégés légalement.
Au total, près de 16 millions de personnes vivent dans les communautés autonomes espagnoles. Le statut des langues en Espagne diffère juridiquement au plan de l’État central et des Communautés autonomes. Le castillan est la « langue espagnole officielle de l’État » (« la lengua española oficial del Estado »), mais trois langues — le catalan, le galicien et le basque — bénéficient d’un statut de co-officialité dans certaines Communautés autonomes, alors que d’autres langues ne bénéficient que d’une protection limitée, sinon aucune.
- L’expression statutaire utilisée pour désigner en Espagne les langues officielles autres que le castillan est langue propre (« lengua propria » ou « lenguas proprias »), une expression peu courante en français ou en anglais.
- Alors que le français privilégierait plutôt les expressions « langue régionale » ou « langue patrimoniale », l’anglais utiliserait « regional language » ou « native language ».
Conformément à l’article 3 (trois paragraphes) de la Constitution espagnole, le catalan, le basque et le galicien sont reconnus comme langues co-officielles avec le castillan dans les Communautés (régions) où ces langues sont parlées, mais le castillan est l’unique langue espagnole officielle de l’État : Artículo 3 1) El castellano es la lengua española oficial del Estado.
Todos los españoles tienen el deber de conocerla y el derecho a usarla.2) Las demás lenguas españolas serán también oficiales en las respectivas Comunidades Autónomas de acuerdo con sus Estatutos.3) La riqueza de las distintas modalidades lingüisticas de España es un patrimonio cultural que será objeto de especial respeto y protección.
Article 3 1) Le castillan est la langue espagnole officielle de l’État. Tous les Espagnols ont le devoir de le connaître et le droit de l’utiliser.2) Les autres langues espagnoles seront également officielles dans les différentes Communautés autonomes en accord avec leurs Statuts.3) La richesse des diverses modalités linguistiques de l’Espagne est un patrimoine culturel qui doit être l’objet d’une protection et d’un respect particuliers.
- Si tous les Espagnols ont le devoir de connaître le castillan, cette obligation ne s’applique pas au catalan, au basque, au galicien, etc.
- L’utilisation de ces langues minoritaires en Espagne ne constitue pas une obligation, mais simplement un droit.
- Les langues ne sont donc pas officielles au même degré : la langue officielle de toute l’Espagne demeure le castillan, ce qui lui assure une préséance certaine.
En terme de droits linguistiques, la Constitution espagnole reconnaît deux catégories de citoyens et deux catégories de territoires. Ainsi, la Constitution prévoit un État espagnol unilingue composé de territoires soit officiellement unilingues (pour les castillanophones) soit officiellement bilingues (pour les Catalans, les Basques, les Galiciens, les Aranais, etc.).
L’État espagnol aurait pu choisir une autre option : reconnaître constitutionnellement un État multilingue (l’Espagne) constitué de territoires unilingues (Catalogne, Baléares, Pays valencien, Pays basque, Galice, etc.). Mais ce n’est pas ce modèle qui a été retenu. D’ailleurs, la reconnaissance des diverses langues de l’Espagne ne doit pas nuire ni à l’usage ni à la présence de la langue officielle de l’État espagnol : le castillan.
On constate que c’est une sorte de bilinguisme très différent de celui qu’on connaît au Canada où l’État fédéral est bilingue et les provinces généralement unilingues (français au Québec, anglais ailleurs), sauf au Nouveau-Brunswick et dans les territoires (bilinguisme anglais-français, plus l’inuktitut et l’inuinnaqtun au Nunavut).
Le castillan est donc la seule langue reconnue par l’État espagnol pour l’ensemble du pays. Cela signifie que seul le castillan est utilisé aux Cortès Generales (Madrid) composés du Parlement (Congrès de députés) et du Sénat, dans l’administration et les services, la justice, la signalisation routière (relevant de l’État), l’affichage public, etc.
Néanmoins, de façon exceptionnelle, un certain plurilinguisme est pratiqué au Sénat, et ce, après de longues discussions politiques et des débats parlementaires houleux. Le statut de co-officialité n’engage pas juridiquement l’État espagnol, mais uniquement les administrations locales, c’est-à-dire les Communautés autonomes bilingues.
- Si l’on fait exception de ces dernières, l’Espagne se présente donc comme un pays unilingue où la seule langue castillane a droit de cité dans les différentes fonctions de la vie sociale, économique, culturelle, politique, militaire, etc.
- L’usage public d’une langue autre que le castillan n’existe qu’avec le catalan, le galicien et le basque, c’est-à-dire dans les Communautés autonomes de la Catalogne (catalan), du Pays valencien (catalan), des îles Baléares (catalan), de la Galice (galicien), du Pays basque (basque) et de la Navarre (basque).
Bien que le castillan soit l’unique langue officielle de l’État espagnol, certains compromis ont été trouvés pour la Catalogne, le Pays valencien, le Pays basque et la Galice. De façon générale, le chef de l’État (le roi) s’adresse en castillan à l’ensemble des citoyens du pays.
Cependant, il utilise par principe le catalan lorsqu’il prend officiellement la parole en Catalogne. Les assemblées parlementaires centrales ( Cortès Generales ) ne font usage que du castillan, l’emploi de toute autre langue étant interdit, sauf au Sénat où l’emploi des langues co-officielles est autorisé.
Depuis 1998, le Journal officiel ( Diario Oficial ) de l’État est publié également en d’autres langues, une fois que la publication en castillan est diffusée. Le Tribunal constitutionnel n’emploie que le castillan et n’accepte pas les procédures d’appel en catalan, ni d’ailleurs en aucune autre langue co-officielle des Communautés autonomes.
- Le Tribunal estime même que, pour être admissible ou recevable devant la cour, les documents écrits dans la langue co-officielle d’une Communauté autonome doivent être « traduits d’office » en castillan.
- En général, les tribunaux de l’État qui siègent sur le territoire d’une Communauté autonome admettent les écrits en catalan, en basque ou en galicien s’ils sont accompagnés d’une traduction, c’est-à-dire lorsqu’ils émanent des tribunaux où a été entamée la procédure.
Dans un arrêt du 26 juin 1986, le Tribunal constitutionnel (l’équivalent de la Cour suprême du Canada) a statué que « l’Administration périphérique » (ce qui signifie « décentralisée ») de l’État espagnol ainsi que tous les « tribunaux de justice » dont l’action s’inscrit dans une Communauté autonome ayant un régime linguistique de « co-officialité » sont obligés de respecter ce régime.
- Cela signifie que, dans toutes les Communautés autonomes possédant plus d’une langue officielle, les citoyens ont le droit reconnu d’employer l’une ou l’autre langue avec les services décentralisés de l’État espagnol, ainsi que dans toutes les cours de justice.
- Ce « droit » n’est pas formellement encore reconnu dans la Constitution espagnole, mais simplement imposé par la plus haute cour du pays.
C’est pourquoi l’État espagnol a dû adopter la Loi relative aux bases du régime juridique des administrations publiques et de la procédure administrative (loi n o 30 du 26 novembre 1992). Selon l’article 36, la langue utilisée par l’administration de l’État sera le castillan, mais dans les Communautés autonomes où il existe une autre langue co-officielle, cette dernière sera aussi reconnue.
Pour ce faire, on devra répondre dans la langue dans laquelle s’est adressé le citoyen et fournir la documentation en conséquence. Le principe qui prévaut est que les droits linguistiques des citoyens doivent primer sur ceux des fonctionnaires des différentes administrations. D’ailleurs, l’article 19 de la loi 30/1984 prescrit que les fonctionnaires tenus de travailler dans les territoires où deux langues sont déclarées officielles doivent posséder les compétences linguistiques nécessaires.
En réalité, les pratiques de l’État espagnol sont demeurées inchangées depuis deux décennies. Les convocations des candidats aux postes offerts reprennent le libellé de cet article 19, mais n’incluent aucune preuve obligatoire ni volontaire pour évaluer effectivement les connaissances linguistiques des candidats qui aspirent à ces postes.
Il reste encore rare que les fonctionnaires de l’État espagnol aient recours au bilinguisme. Par exemple, en Catalogne, jusqu’en 1998, moins de 10 % des postes exigeaient la connaissance du catalan; même si ce taux a beaucoup augmenté, il est loin d’atteindre les 100 % requis dans la loi. C’est pourquoi toute personne qui utilise une autre langue que le castillan au sein de l’Administration centrale dans les territoires des Communautés autonomes se trouve nettement désavantagée et discriminée.
Si l’on compare avec la situation au Canada, l’État espagnol demeure unilingue et ce sont les Communautés autonomes (Catalogne, Pays Valencien, îles Baléares, Galice, Pays basque et Navarre) qui pratiquent le bilinguisme. En ce sens, l’expression bien connue et très fréquente en Espagne de au moins en castillan (« al menos en castellano » ou encore « al menos en castellano, lengua española oficial del Estado ») semble en contradiction avec un système voulant que deux langues soient officielles.
Dans l’état actuel des choses, les langues officielles ne le sont pas au même degré puisque le castillan l’est plus que les autres! Normalement, on comprendrait au Canada que, s’il existe un droit d’usage des langues officielles, ce droit doit valoir pour toutes les langues officielles et non seulement d’abord pour une langue (le castillan), ensuite pour les autres (catalan, basque et galicien).
Malheureusement, il existe toujours des lacunes dans une politique linguistique, l’Espagne ne semble pas faire exception. C’est le résultat d’un bilinguisme strictement régional où l’égalité est asymétrique à l’avantage du castillan. Ce n’est pas pour rien que plusieurs réclament des politiques linguistiques pour faire cesser l’unilinguisme de l’État castillanophone.
- Le fait que la Constitution espagnole de 1978 n’ait consenti aucune reconnaissance juridique aux « autres langues espagnoles » telles que le catalan, le galicien ou le basque au sein de ses institutions et organes centraux ou nationaux représente un certain handicap pour ces langues.
- Le débat qui touche la Constitution ne fait que commencer en Espagne.
On parle aujourd’hui d’« État fédéral » et d’« État plurinational ». Quoi qu’il en soit, il faut quand même reconnaître que l’effort consenti par l’Espagne pour faire coexister la langue officielle et les « langues propres » demeure l’une des tentatives les plus ambitieuses du monde contemporain occidental (16 millions de citoyens dans les communautés autonomes) et, à l’exception du Pays Basque, compte tenu de l’harmonie relative des groupes linguistiques jusqu’à présent.
- En 2014, un sondage indiquait que seuls 55 % des Espagnols ont le castillan pour langue maternelle.
- N’oublions pas que les minorités linguistiques comptent au moins 27 millions de locuteurs en Espagne (sur une population de 46,6 millions) et qu’il existe une relative harmonie entre les divers groupes linguistiques, si l’on fait exception du Pays basque.
L’Espagne apparaît néanmoins comme l’un des modèles les plus représentatifs de cette nouvelle politique des États-nations faisant droit aux revendications identitaires et régionales, sans que ne soit remis en cause le caractère unitaire de l’ensemble national.
Ou parle-t-on espagnol en Europe ?
Accueil » Classements et listes par thématique » Langues » Classement des États d’Europe par nombre d’hispanophones Par Atlasocio.com | Mis à jour le 25/02/2022 Les États d’Europe comptant le plus grand nombre d’hispanophones sont l’ Espagne, la France, le Royaume-Uni, l’ Allemagne et l’ Italie,
▶ VOIR AUSSI : – Cartes du monde relatives au nombre d’hispanophones par État – Cartes du monde relatives à la part des hispanophones par État (% population) – Cartes du monde relatives au statut officiel de la langue espagnole par État – Liste des États et territoires ayant l’espagnol pour langue officielle – Liste des langues officielles par État et territoire du monde – Classement des langues officielles par nombre d’États et territoires – Classement des langues par nombre total de locuteurs (L1 + L2)
Ou parle-t-on espagnol en Amérique ?
1 Les pays majoritairement hispanophones – Contrairement aux anglophones et aux francophones, les locuteurs hispanophones ne sont pas rpartis sur les cinq continents; on les trouve principalement en Amrique (Amrique latine) et en Europe (Espagne et dpendances comme les les Canaries), ainsi qu’en Afrique avec la Guine quatoriale, sans oublier le Sahara occidental et les enclaves espagnoles de Ceuta (20 km) et Melilla (12 km) sur la cte marocaine.
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Les pays hispanophones les plus linguistiquement homognes sont les suivants: l’Argentine (97%), Porto Rico (97%), le Chili (93%), le Salvador (92%), le Venezuela (92%), le Honduras (91%), Cuba (90%), le Costa Rica (90%) et le Nicaragua (90%. Suivent le Mexique (88%), la Rpublique dominicaine (87%), l’Uruguay (87%), la Colombie (80%), l’quateur (78%), le Panama (78%) et le Prou (76%).
Quel pays parle espagnol en Asie ?
Pays asiatique qui parle espagnol – Précédemment dans notre article Quels pays parlent espagnol – La liste complète !, nous avons cités les pays où on parle espagnol. Cependant, si vous vous demandez s’il y a un pays qui parle espagnol en Asie, sachez qu’il n’en existe pas.
- Néanmoins, aux Philippines, pays d’Asie du Sud-Est, on a longtemps parlé espagnol puisque ce pays fit partie de la couronne espagnole pendant trois siècles.
- C’est donc durant cette période que la langue dominante était l’espagnol.
- Mais, après une guerre hispano-américaine, l’Espagne céda cet archipel aux États-Unis, ce qui entraîna un déclin de l’espagnol et la montée de l’anglais comme langue officielle des Philippines.
Et voilà, désormais vous savez tout sur les pays parlant espagnol ! L’article Liste des pays d’Asie et leur capitale pourrait également vous intéresser. Si vous souhaitez lire plus d’articles semblables à Quels pays parlent espagnol – La liste complète !, nous vous recommandons de consulter la catégorie Formation,
- http://www.axl.cefan.ulaval.ca/afrique/guinee_equatoriale.htm
- https://www.vie-publique.fr/parole-dexpert/23847-ceuta-et-melilla-villes-espagnoles-ou-dernieres-colonies-en-afrique
- https://fr.globalvoices.org/2014/12/13/179313/
Où on parle français ?
La francophonie, un espace linguistique contrasté dont l’Afrique devient le centre de gravité – L’espace francophone est constitué de trois cercles :
- Un premier cercle comprend les francophones de langue maternelle qui ont longtemps vécu dans un espace relativement restreint, la France, la Belgique wallonne et Bruxelles, la Suisse romande, le Québec. Dans cet espace, la majorité des francophones sont monolingues.
- Un deuxième cercle est constitué de populations de pays et régions partiellement francophones, tous bilingues ou multilingues, en Afrique subsaharienne et dans l’océan Indien, en Afrique du Nord, au Proche-Orient, en Haïti, au Vanuatu, dans les départements et territoires français d’outre-mer, qui utilisent le français comme langue d’usage ou langue seconde et le maîtrisent à des niveaux de langue assez divers.
- Un troisième cercle est constitué de francophones occasionnels, qui maîtrisent la langue à des degrés divers et l’utilisent de façon ponctuelle, en plus de leur(s) langue(s) maternelle(s) ou véhiculaire(s), partout dans le monde. Entrent dans ce dernier ensemble les personnes qui ont appris le français dans des contextes non francophones, soit comme langue d’enseignement, soit comme langue étrangère.
L’espace linguistique francophone constitué par ces trois cercles représentait, en 2018, selon l’Observatoire de la langue française, environ 300 millions de personnes. Cette estimation doit être considérée avec prudence. Il est, en effet, très difficile de connaître avec précision le nombre de locuteurs des langues les plus parlées dans le monde. Le tableau ci-dessous, emprunté au site Ethnologue, permet de situer la langue française, parmi les 10 langues les plus parlées. Notes de l’auteur
- Les données chiffrées sont empruntées, pour l’essentiel, à l’édition 2019 du livre de l’Observatoire de la langue française de l’Organisation internationale de la Francophonie « La langue française dans le monde » paru chez Gallimard ainsi qu’à l’ouvrage de Roger Pilhion et de Marie-Laure Poletti publié en 2017 « et le monde parlera français ».
- Organisation internationale de la Francophonie, La langue française dans le monde, Gallimard, édition 2019
- Classement des principales langues selon leur nombre de locuteurs (Source : site Ethnologue, 22e édition, 2018)
Avec 279,8 ou 300 millions de locuteurs, selon ces deux estimations, la langue française se situe au 6 e rang derrière le mandarin, l’anglais, l’hindi, l’espagnol et l’arabe. Au risque de surprendre, soulignons qu’il n’y a jamais eu autant de gens qui parlent français dans le monde qu’aujourd’hui et que ce chiffre est en constante et forte progression,
C’est ainsi que l’OIF estimait le nombre de francophones à 175 millions en 2005, à 228 millions en 2010 et à 273,8 millions en 2014, Autre constat important : un des points forts du français comme langue de communication internationale est sa dispersion géographique. Le français est, en effet, avec l’anglais, la seule langue parlée comme langue maternelle ou seconde sur les cinq continents.
Près de 60 % des locuteurs quotidiens de français vivent en Afrique et au Proche Orient. (44 % en Afrique subsaharienne et dans l’océan Indien et 15% en Afrique du Nord et au Proche-Orient).33 % vivent en Europe, dont environ 28 % en France.7 % vivent en Amérique et ils ne sont que 0,3 % en Asie et Océanie.
- Arrêtons de penser que la France est au cœur de la francophonie puisqu’à peine plus du quart des francophones sont Français.
- Comme l’a justement fait observer le président Macron lors de son discours à l’Institut de France le 20 mars 2018 où il a présenté un plan pour la langue française dans le monde et le plurilinguisme : « Nous passons de l’idée ancienne d’une francophonie qui serait la marge de la France à cette conviction que la francophonie est une sphère dont la France avec sa responsabilité propre et son rôle historique n’est qu’une partie agissante, volontaire mais consciente de ne pas porter seule le destin du français.
» La langue française aujourd’hui est une langue mondiale dont le centre de gravité se situe en Afrique. Kinshasa, capitale de la République démocratique du Congo, est devenue la première ville francophone du monde. Autre constat : les francophones sont très majoritairement bilingues ou multilingues.
On parle arabe dialectal ou berbère et français au Maroc et en Algérie ; wolof, français et, le cas échéant une ou plusieurs autres langues africaines au Sénégal ; créole et français en Haïti ; arabe, anglais et français au Liban ; luxembourgeois, français et allemand au Luxembourg Mais, selon les pays, le taux de francophones varie considérablement.
S’il est estimé à 97 % en France où la population est très majoritairement monolingue, il va, selon les statistiques de l’OIF, de 6% au Rwanda à 73 % à la République de Maurice et se situe, en moyenne en Afrique, en-dessous de 50 % de la population. Et, à cet égard, nous avons bien souvent des représentations faussées.
- On cite souvent le Sénégal comme un des pôles de la francophonie, mais seulement 26 % des Sénégalais sont francophones.
- On fait aussi souvent référence à la Côte d’Ivoire qui ne compte que 33 % de francophones, comme l’Algérie.
- Les pays les plus francophones d’Afrique et de l’océan Indien sont, outre Maurice, le Gabon (66 %), le Congo (59 %), les Seychelles (53 %), la République démocratique du Congo (51 %) et Djibouti (50 %).
Notes de l’auteur 4. Organisation internationale de la Francophonie, La francophonie dans le monde 2004-2005, Larousse 5. Organisation internationale de la Francophonie, La langue française dans le monde 2010, Nathan 6. Organisation internationale de la Francophonie, La langue française dans le monde 2014, Nathan Un autre point fort du français est sa reconnaissance officielle, comme le fait apparaître le tableau ci-dessous : Le français est ainsi langue officielle ou co-officielle dans 29 pays Il est seule langue officielle dans 13 pays, tous membres de l’Organisation internationale de la Francophonie :
- en Europe : France et Monaco
- en Afrique : Bénin, Burkina Faso, République démocratique du Congo (RDC), Congo, Côte d’Ivoire, Gabon, Guinée, Mali, Niger, Sénégal et Togo
Il est une des langues officielles de 16 autres pays, également tous membres de l’OIF :
- en Europe : Belgique, Luxembourg et Suisse
- en Afrique : Burundi, Cameroun, Comores, Djibouti, Guinée équatoriale, Madagascar, République centrafricaine, Rwanda, Seychelles et Tchad
- en Amérique : Canada et Haïti
- en Océanie : Vanuatu
Le français est aussi une langue présente, sans statut officiel, dans 7 autres pays, où il est parlé par plus de 20% de la population
- au Maghreb : Algérie, Maroc, Tunisie
- en Afrique : Mauritanie
- au Moyen-Orient : Liban
- dans l’océan Indien : Maurice
- en Europe : Andorre.
Parmi ces derniers pays, un seul, l’Algérie, n’est pas membre de l’OIF. L’espace linguistique francophone comprend donc 36 pays. Notons que le français est également présent, dans les départements et territoires français d’outre-mer, en Amérique du Nord (Saint-Pierre-et-Miquelon) et du Sud (Guyane française) ; dans les Caraïbes (Guadeloupe, Martinique, Saint-Martin, Saint-Barthélemy) ; dans l’océan Indien (La Réunion, Mayotte) ; en Océanie (Nouvelle Calédonie, Polynésie française, Wallis et Futuna) et dans les Terres australes et antarctiques françaises.
- en Israël (autour de 500 000 personnes représentant environ 6 % de la population) ;
- aux États-Unis (2,1 millions de personnes représentant 0,7 % de la population, dont près de 200 000 en Louisiane) ;
- en Italie (province autonome du Val d’Aoste) ;
- en Inde, à Pondichéry (le français est une des 5 langues officielles du territoire) ;
- à Jersey et Guernesey, dépendances de la Couronne britannique, le français étant langue co-officielle à Jersey.
Cette reconnaissance internationale de la langue française s’applique également à la plupart des organisations internationales, Logo de l’Organisation des Nations Unis Le français est ainsi langue officielle et de travail à l’Organisation des Nations Unies (ONU) et dans ses agences comme l’UNESCO, l’OMS, la FAO, l’OIT, le PNUD, l’UNICEF ; à l’Union africaine ; l’Organisation des Etats américains ; l’Association des Etats de la Caraïbe ; l’Organisation de la Conférence islamique ; le Conseil de l’Europe ; l’OCDE ; l’OTAN ; la Cour internationale de Justice et dans le mouvement sportif international, au Comité international olympique ou encore à la FIFA.
- L’Union européenne, pour sa part, compte 24 langues officielles, le français étant l’une d’entre elles.
- Le français est une des trois langues de travail de l’Union européenne, avec l’anglais et l’allemand.
- Il est la langue du délibéré de la Cour de Justice des Communautés européennes et la première langue de droit de l’Union.
En outre, la francophonie représente un espace économique que trop de Français, y compris des chefs d’entreprise, ont tendance à sous-estimer. Selon l’Observatoire de la Francophonie, le français est la troisième langue des affaires dans le monde et la deuxième en Europe.
L’espace francophone, représenté dans cette étude par une trentaine de pays, représentait en 2016, 540 millions d’habitants, soit 7,3 % de la population mondiale, contre 6,4 % en 2000. Mesuré en termes de PIB, le poids de l’espace francophone dans le monde est sensiblement supérieur à son poids démographique.
Les pays concernés produisaient 8,7 % de la richesse mondiale (90 % produits par les pays du nord ; 6 % par les pays du Maghreb et 4 % par les pays d’Afrique subsaharienne). En moyenne sur la période 1995-2015, les échanges de biens entre deux pays appartenant à cet espace sont supérieurs de 17,8% aux échanges entre deux pays ayant des caractéristiques similaires mais n’appartenant pas à cet espace.
Pour les 36 pays entièrement ou partiellement francophones, le français peut constituer, à des niveaux divers, un facteur de croissance pour les entreprises. Au niveau macro-économique, le rapport de Jacques Attali au président de la République française, La Francophonie et la Francophilie, moteurs de croissance durable, d’août 2014, faisait apparaître des corrélations entre la proportion de francophones dans un pays et la part de marché des entreprises françaises dans ces pays, ainsi qu’un gain de PIB par habitant de 6 % dans les pays francophones dû au partage d’une même langue.
Ce facteur linguistique est particulièrement porteur dans certains secteurs tels que la musique, le cinéma et le tourisme. Ce rapport faisait fort opportunément apparaître que la mondialisation n’est pas synonyme d’uniformisation linguistique et que les espaces francophones, hispanophones, lusophones, arabophones participent également au développement des échanges économiques.
- Il mettait en évidence que l’anglais n’est pas la seule langue des affaires.
- C’est ce qu’ont, d’ailleurs, bien compris des pays comme la Chine qui fait du français un de ses vecteurs de pénétration sur le continent africain.
- De même que la maîtrise de l’anglais constitue un atout pour s’implanter et vendre aux États Unis, en Australie, en Inde ou en Afrique du Sud et celle du portugais au Brésil ou en Angola, la langue française sert à pénétrer le marché des pays dont le français est une des langues véhiculaires.
La progression de l’enseignement du français en Chine s’explique essentiellement par la volonté de disposer de cadres chinois à même de partir à la conquête de ces marchés. Dans toute une partie du monde qui connaît aujourd’hui une croissance économique, le français est donc bien perçu, sur le plan économique, comme un atout. Au-delà de ces divers constats, il est intéressant de consulter en ligne le Baromètre des langues dans le monde réalisé par le sociolinguistique Louis-Jean Calvet, qui présente un classement des 634 langues de plus de 500 000 locuteurs selon le site Ethnologue, Outre le nombre de locuteurs, celui-ci prend en compte 11 autres critères :
- l’entropie (capacité d’une langue à être présente en dehors de son espace originel) ;
- la véhicularité (la fonction de langue véhiculaire dans une zone donnée) ;
- le statut de la langue (ce paramètre rend compte du degré de reconnaissance des langues par les instances politiques des pays dans lesquels elles sont parlées) ;
- le nombre de traductions à partir de la langue ;
- le nombre de traductions vers la langue ;
- les prix littéraires internationaux ;
- le nombre d’articles publiés dans Wikipédia ;
- l’indice de développement humain (cet indice, tel que défini par le PNUD, prend en compte le produit national brut par individu, l’espérance de vie à la naissance et le niveau d’éducation) ;
- l’indice de fécondité ;
- la pénétration sur internet ;
- l’importance de la langue par son enseignement au niveau universitaire.
Dans ce baromètre, le mandarin, langue la plus parlée dans le monde, n’arrive qu’au 11 e rang des langues les plus importantes, alors que le français se situe au 2 e rang derrière l’anglais et devant l’espagnol, l’allemand et le russe. Baromètre Calvet des langues parlées par plus de 500 000 locuteurs. Version 2017 Baromètre Calvet OIF Organisation internationale de la Francophonie, La francophonie dans le monde 2004-2005, Larousse
Quel pays de l’Amérique latine ne parle pas espagnol ?
Il s’agit du Panama, du Costa Rica, du Nicaragua, du Honduras, du Belize, du Guatemala et du Salvador.
Comment on appelle une personne qui parle espagnol ?
Définition ‘ hispanophone ‘ Personne qui parle espagnol.
Quel est le temps le plus difficile en espagnol ?
L’imparfait du subjonctif.
Pourquoi Lespagnol est difficile ?
En espagnol nous avons plusieurs manières de dire la même chose – L’espagnol est une langue très riche en vocabulaire et expressions, Vous pourrez rencontrer milles formes pour exprimer la même chose, Cela en fait une langue très riche, mais peut rendre son apprentissage un peu difficile. Les espagnols sont connus pour voir un caractère blagueur et pour cela à double sens, l’ ironie fait par tie de la lan gue, c ‘ est commun dans notre culture. Pour un étudiant en espagnol, cela peut être compliqué de comprendre le double sens dans quel ques situations.
Comme dans les autres langues, en espagn ol nous avons les « faux amis » qui sont des mots similaires entre deux langues mais qui signifient des choses distinctes. Par exemple : en espagnol « ca rpeta » est un objet pour stocker des papiers, en anglais « carpet » est un tissu qui est placé au sol, en espagnol « alfombra ».
Nous apprenons par l’imitation, c’est a insi que, si vous v oulez bien écrire, apprenez avec beaucoup de bons écrivains. Utilisez beaucoup de connecteur s, appren ez du vocabulaire. Apprenez des nouveaux adjectifs pour enrichir vos descriptions. Avec ses déta ils votre rédaction sera plus appropriée,
Ou Parle-t-on le plus français en Espagne ?
Selon les données de l’Institut Nationale en Espagne (INE), Alicante, Valencia et Málaga sont les villes les plus choisies par les français qui emménagent en Espagne, dépassées seulement par les grandes villes de Madrid et Barcelone. Il y a 8.832 résidents français à Alicante, 7.900 à Valencia et 7.061 à Málaga.
Quelle est la langue la plus facile au monde ?
1. – Crédit Photo : Shutterstock / RossHelen Envie d’apprendre une langue ? Pourquoi ne pas commencer par l’italien ? Par rapport au français, c’est l’italien qui remporte la palme des langues les plus faciles à apprendre. En effet, la langue de Dante possède une similarité lexicale de 89 % avec la langue française.
- Cela s’explique notamment par la proximité géographique de la Gaule avec l’Empire Romain.
- Le fond lexical du français provient du latin pour une grande majorité de mots.
- Même sans prendre de cours d’italien, un francophone peut comprendre les phrases simples à l’écrit.
- Avec un peu d’entraînement, l’oral devient rapidement compréhensible.
Aussi, l’italien comporte moins de formes verbales que le français. Il faudrait en moyenne 600 heures pour apprendre l’italien. À lire aussi :
Quelle est la langue la plus difficile à apprendre ?
1) Le chinois mandarin – Sans surprise, le chinois mandarin semble être LA langue la plus difficile à apprendre. Vous pensez sûrement que c’est à cause de l’alphabet chinois Sauf qu’il n’existe pas d’alphabet chinois, mais plusieurs milliers de caractères chinois, appelés « sinogrammes ».
Vous n’avez pas forcément besoin de tous les apprendre pour tenir une conversation, mais il faudra tout de même en connaître quelques centaines. Mais attention, ces sinogrammes ne donnent aucun indice sur la prononciation Surtout que l’intonation change complètement le sens d’un mot. En effet, le chinois possède quatre tons : un ton haut ou plat, un ton bas, un ton montant et un ton descendant.
Mieux vaut bien les maîtriser, sans quoi vous risquez de faire des bourdes ! Si l’apprentissage du mandarin ne vous fait pas peur, prenez des cours de mandarin avec Global Lingua ! Évidemment, il existe de nombreuses langues qui sont tout aussi difficiles à apprendre, comme le russe, le polonais, l’hindi, le navajo Bien que ces langues représentent un défi de taille, rappelez-vous que pour apprendre une langue, il faut surtout rester motivé et organisé ! Sans oublier que le français est aussi l’une des langues les plus difficiles à apprendre Si vous avez réussi à lire et comprendre cet article, vous êtes fort(e) ! Envie d’apprendre une langue malgré le défi que cela peut représenter ? Téléchargez gratuitement notre guide d’apprentissage pour faire le plein de bons conseils.
Quel sont les 19 pays de l’Amérique latine ?
Amérique latine La rég ion se compose de 19 pays en développement (dont deux sont des pays sans littoral et deux autres sont des nations insulaires), et dispose d’un vaste littoral sur l’océan Pacifique à l’ouest et l’océan Atlantique et la mer des Caraïbes à l’est.
- Les 19 pays de la région sont tous des États Membres de l’OMI.
- La navigation marchande et la pêche, qui incluent la navigation en mer, sur les fleuves et sur les lacs, revêtent une grande importance commerciale pour la région.
- En raison du vaste littoral de la région, du gros trafic de navires-citernes et de ses intérêts considérables dans les exportations d’hydrocarbures et de produits chimiques, ainsi que de l’expansion du secteur des croisières dans les pays riverains de la mer des Caraïbes, les pays d’Amérique latine abordent les questions relatives à la protection du milieu marin par le biais de stratégies régionales.
Partenariats avec des institutions régionales et/ou nationales Depuis le début des années 80, l’OMI collabore étroitement avec les deux réseaux d’administrations maritimes d’Amérique latine qui sont :
le Réseau opérationnel de coopération régionale des autorités maritimes des Amériques (Red Operativa de Cooperación Regional de las Autoridades Marítimas de las Américas – ROCRAM) ; et le Réseau opérationnel de coopération régionale des autorités maritimes de l’Amérique centrale et de la République dominicaine (Red Operativa de Cooperación Regional de las Administraciones Marítimas de Centro América – ROCRAM-CA),
ROCRAM dispose d’un secrétariat rotatif qui change tous les deux ans. ROCRAM-CA dispose d’un secrétariat permanent dont le responsable est la Commission centraméricaine du transport maritime (Comisión Centroamericana para Transporte Marítimo – COCATRAM), basée au Nicaragua.
Les nations plus développées de la région n’ont cessé d’aider les autres à renforcer les capacités institutionnelles et en ressources humaines des administrations maritimes et cette assistance continuera à être fournie par le biais des modalités de la CTPD qui bénéficient du soutien de l’OMI. On trouve par exemple les sept mémorandums d’entente signés depuis 2002 entre l’OMI et les Administrations maritimes de l’Argentine, du Brésil, du Chili, du Mexique, de la République bolivarienne du Venezuela et de l’Uruguay, qui facilitent la fourniture d’experts et d’instructeurs de ces nations à titre gratuit.
En plus de ces deux réseaux, certains pays d’Amérique latine bénéficient également des activités organisées par le Centre régional d’activités de formation et de renseignements en cas de situation critique due à la pollution marine pour les Caraïbes (RAC/REMPEITC-Caribe), basé à Curação (Pays-Bas).
Le Centre a été officiellement institutionnalisé en 2002 par la signature d’un mémorandum d’entente entre les Antilles néerlandaises, l’OMI et le Programme des Nations Unies pour l’environnement (PNUE), ce qui a permis de programmer, en collaboration avec l’Association régionale des compagnies du pétrole et du gaz naturel en Amérique latine et dans les Caraïbes (ARPEL) et d’autres organismes du secteur, des activités visant à mettre au point ou moderniser des plans d’urgence aux niveaux national, bilatéral et régional et à former du personnel aux questions ayant trait à la Convention OPRC.
Caraïbes La région se compose de 14 États et de 16 pays, territoires et/ou départements d’outre-mer situés dans le bassin des Caraïbes ou bordant l’océan Atlantique. Tous les États de la région des Caraïbes sont Membres de l’OMI et classés comme petits États insulaires en développement (PEID) sauf un, Haïti, seule nation de l’hémisphère américain classée parmi les pays les moins avancés (PMA).
À l’exception de trois pays, tous les États et Territoires des Caraïbes sont des îles ou des archipels. De par sa nature même, la région est donc lourdement tributaire du secteur maritime pour le transport des personnes et des marchandises, la pêche et le tourisme, lequel représente la principale activité économique de la région.
Les États des Caraïbes ont des intérêts importants et croissants dans le secteur de la marine marchande. En général, le tourisme côtier constitue un aspect important de l’économie des pays de la région. Ces dernières années, le secteur des croisières a progressé de manière notable et régulière, en particulier dans certaines zones touristiques de l’ensemble de la région.
Vu la croissance, ces deux dernières décennies, de la flotte marchande de la région et de ses secteurs du tourisme et des croisières, la priorité, qui était accordée auparavant à l’aide apportée par l’OMI, est devenue l’administration efficace de la sécurité maritime et la protection du milieu marin.
Des registres d’immatriculation existent dans tous les États indépendants, sauf un, et le registre des Bahamas est, de loin, le plus important en matière de tonnage brut. Les Territoires dépendants possèdent aussi d’importants intérêts dans l’immatriculation des navires.
- La région des Caraïbes a été la sixième zone à être protégée en vertu de la résolution MEPC.191(60), adoptée par le Comité de la protection du milieu marin lors de sa soixantième session en mars 2010, qui a pris effet le 1er mai 2011 et s’oppose au rejet de toutes les ordures par les navires.
- Présence régionale dans les Caraïbes L’OMI dispose d’un Conseiller maritime régional à Port-d’Espagne (Trinité-et-Tobago).
Le Conseiller maritime régional facilite l’exécution du Programme intégré de coopération technique (PICT) et œuvre en collaboration étroite avec les gouvernements et les institutions de la région. Depuis la création du poste de Conseiller maritime régional, le nombre d’adhésions et de ratifications des instruments de l’OMI par les États Membres de la région a considérablement augmenté.
Le Conseiller maritime régional a apporté un appui considérable à l’élaboration d’un ensemble complet de lois et règlements types, y compris de codes et recueils de règles applicables aux navires qui, de par leurs dimensions, ne sont pas soumis aux conventions et qui constituent la vaste majorité des navires exploités dans les Caraïbes.
Les règlements modèles ainsi élaborés, partagés également avec les pays anglophones d’autres régions en développement et qualifiés par les Nations Unies de remarquable succès pour les PEID, peuvent être adaptés aux circonstances particulières de chaque administration maritime, et l’OMI continuera de fournir une assistance technique supplémentaire à cette fin.
- Tous les pays de la région des Caraïbes reçoivent un soutien de la part du Centre régional d’activités de formation et de renseignements en cas de situation critique due à la pollution marine pour les Caraïbes (RAC/REMPEITC-Caribe), basé à Curação (Pays-Bas).
- Bureau de Trinité-et-Tobago Le bureau de présence régionale pour la sous-région des Caraïbes est situé dans la ville de Port-d’Espagne.
Les coordonnées du Conseiller maritime régional sont les suivantes : M. Colin P. Young Conseiller maritime régional de l’OMI (Caraïbes) 2nd Floor Clarence House 127 – 129 Duke Street Port-d’Espagne Trinité-et-Tobago Téléphone fixe : +1 868 224 5490 (ligne directe) Téléphone portable : +1 868 727 1926 Courriel : [email protected] et [email protected] Le bureau de Trinité-et-Tobago dessert les pays ci-après :
Antigua-et-Barbuda | Grenade | Saint-Kitts-et-Nevis |
Bahamas | Guyana | Saint-Vincent-et-les Grenadines |
Barbade | Haïti | Suriname |
Belize | Jamaïque | Trinité-et-Tobago |
Dominique | Sainte-Lucie |
Partenariats avec des institutions régionales et/ou nationales Seul un nombre limité d’États des Caraïbes ont établi des administrations officielles dotées d’un noyau de personnel bien qualifié. Certains pays disposent de structures gouvernementales de relativement grande envergure qui leur ont permis de développer leurs administrations maritimes, d’autres sont limités par le manque de ressources humaines et financières.
- Par conséquent, les niveaux de compétences administratives, juridiques et techniques requises pour s’acquitter des responsabilités incombant dans le domaine maritime varient considérablement.
- Néanmoins, certains pays dotés d’administrations maritimes plus développées continuent de dispenser une assistance technique à leurs voisins soit directement (dans le cadre des modalités de la CTPD – coopération technique entre pays en développement – ou par l’intermédiaire de l’OMI), soit indirectement, en partageant les résultats de l’aide extérieure qu’ils peuvent recevoir dans le domaine maritime.
Les navires de faibles dimensions constituant la majorité des navires dans les Caraïbes, leur sécurité a revêtu une importance considérable pour les gouvernements de la région. À cet égard, lorsqu’ils ont mis au point le Mémorandum d’entente régional sur le contrôle des navires par l’État du port, les pays intéressés ont également adopté un recueil de règles de sécurité applicables aux navires de charge pour les Caraïbes, concernant la sécurité des navires d’une jauge brute inférieure à 500.
- De plus, l’OMI a élaboré et diffusé dans toute la région un recueil de règles de sécurité pour les navires commerciaux de faibles dimensions (d’une longueur inférieure à 24 mètres).
- En ce qui concerne la lutte contre la pollution des mers, l’appui que l’OMI donne à la région passe par le REMPEITC-Carib.
Suite à l’institutionnalisation du Centre par la signature d’un Mémorandum d’entente entre les Antilles néerlandaises, l’OMI et le Programme des Nations Unies pour l’environnement (PNUE), sa pérennité est assurée par le détachement d’experts du Service des garde-côtes des États-Unis et de la France.
Le programme de travail du Centre est désormais axé sur la promotion du Protocole OPRC-HNS et de la Convention MARPOL et sur la présentation des pratiques de gestion des eaux de ballast. _ Pays du ROCRAM : Argentine, Bolivie (État plurinational de), Brésil, Chili, Colombie, Cuba, Équateur, Mexique, Panama, Paraguay, Pérou, Uruguay, Venezuela (République bolivarienne du).
Pays du ROCRAM-CA : Costa Rica, El Salvador, Guatemala, Honduras, Nicaragua, République dominicaine. Région des Caraïbes : Antigua-et-Barbuda, Bahamas, Barbade, Belize, Colombie, Costa Rica, Cuba, Dominique, États-Unis d’Amérique, Grenade, Guatemala, Guyana, Haïti, Honduras, Jamaïque, Mexique, Nicaragua, Panama, République dominicaine, Saint-Kitts-et-Nevis, Sainte-Lucie, Saint-Vincent-et-les Grenadines, Suriname, Trinité-et-Tobago et Venezuela (République bolivarienne du).
Quel sont les 19 pays d’Amérique latine ?
Contrastes et diversité touristique en Amérique latine 1 L’Amérique latine fait référence à un ensemble de vingt pays et de deux départements d’outre-mer rattachés au continent des Amériques. Ces pays latino-américains sont l’Argentine, la Bolivie, le Brésil, le Chili, la Colombie, le Costa Rica, Cuba, El Salvador, l’Équateur, le Guatemala, Haïti, le Brésil, le Mexique, le Nicaragua, le Panama, le Paraguay, le Pérou, la République dominicaine, l’Uruguay et le Venezuela ; les deux départements d’outre-mer sont la Guyane française et Porto Rico.
- Comme ils ont été colonisés par les pays européens de langue latine, on y parle l’espagnol, le portugais et le français.2 Ces pays se situent majoritairement au sud et au centre du continent, ce qui inclut les Caraïbes et le seul pays d’origine latine en Amérique du Nord, soit le Mexique.
- Le portugais est parlé dans un seul pays, le Brésil.
Par ailleurs, il y a trois pays d’Amérique du Sud et du centre qui, ayant été colonisés par l’Angleterre et la Hollande, ne sont pas considérés d’origine latine ; il s’agit du Suriname, de la Guyane et du Belize.3 La région des Caraïbes et des Antilles fait partie de l’Amérique centrale, ses pays et départements baignant dans la mer des Caraïbes.
- Cette région a été colonisée à partir du XVI e siècle, surtout par les Espagnols et les Anglais, mais on y retrouve également des héritages coloniaux français, hollandais et danois.
- La région est partagée entre les grandes îles, qui forment les Grandes Antilles et desquelles Cuba se détache, et un ensemble d’îles moins grandes, en forme d’arc, nommé les Petites Antilles.4 L’Amérique latine compte approximativement 21 millions de kilomètres carrés (3,9 % de la surface de la terre), principalement dans la zone intertropicale.
Le relief est varié, passant des plateaux de rivières comme le plateau amazonien, sur la côte est, aux chaînes de montagnes telles que la cordillère des Andes, sur la côte ouest. Malgré un patrimoine culturel considérable, et plus que millénaire, ces pays sont restés pendant des siècles isolés des grands mouvements mondiaux.
Quelle sont les pays qui parle espagnol en Europe ?
Accueil » Classements et listes par thématique » Langues » Classement des États d’Europe par nombre d’hispanophones Par Atlasocio.com | Mis à jour le 25/02/2022 Les États d’Europe comptant le plus grand nombre d’hispanophones sont l’ Espagne, la France, le Royaume-Uni, l’ Allemagne et l’ Italie,
▶ VOIR AUSSI : – Cartes du monde relatives au nombre d’hispanophones par État – Cartes du monde relatives à la part des hispanophones par État (% population) – Cartes du monde relatives au statut officiel de la langue espagnole par État – Liste des États et territoires ayant l’espagnol pour langue officielle – Liste des langues officielles par État et territoire du monde – Classement des langues officielles par nombre d’États et territoires – Classement des langues par nombre total de locuteurs (L1 + L2)